Mika apprend, le 5 avril 2012, qu'elle est atteinte d'une leucémie. Elle a six ans. L'enfant, la maman, le papa et le médecin, nous content le long parcours vers la guérison… Un carnet de bord coloré, singulier, plein d'humour et de poésie. Un film intime et universel. Bouleversant et efficace. Grave et léger. Drôle et pas drôle…

Une version plus courte et destinée au jeune public est disponible également sur CinéVOD : La leucémie de Mika.

Film soutenu par la commission de sélection d'images en bibliothèques :

Apprendre que son enfant a une maladie grave est un choc. Un évènement qui transforme la vie et oblige à faire des choix radicaux. On ne peut guère trouver plus dramatique comme expérience de vie : comment faire alors pour garder espoir en une guérison et surmonter les mauvaises nouvelles (concernant la maladie de son enfant, ou l’évolution de celle des autres enfants du service) ? Des associations se sont montées, les clowns fréquentent aussi ces lieux. Le film de Bruno Romy se situe dans cette dynamique : raconter avec un esprit décalé, clownesque, le quotidien de Mika, d’Annabelle et de Bruno, d’une enfant malade, de ses parents et du personnel soignant. L’abord de la maladie, de ses aspects tragiques, par l’aspect comique ne peut pas être occulté, ni même dévalorisé sous prétexte d’un manque de sérieux face à un sujet grave. Si nous ressentons un malaise à la vision de ce film, c’est parce que la maladie et l’expérience racontées sont génératrices de ce trouble en raison de l’empathie que nous ressentons pour les protagonistes. Le film est une réussite et un formidable moment de cinéma, à l’image des autres films de Bruno Romy…





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